jeudi 27 novembre 2014

"Mordre le bouclier" de Justine Niogret

J'ai lu "Chien du heaume" il y a quelques temps (en fait 3 ans oO), qui m'a laissé un souvenir particulier grace à la fois au personnage principal qu'à l'univers dans lequel elle vit. J'ai donc entamé cette suite avec une attente assez importante et fini assez décue.

Résumé

Couverture Mordre le bouclier Editions J'ai Lu (Fantasy) 2013Castel de Broe, six mois ont passé depuis la mort de Noalle et Chien du heaume, anéantie par la perte de ses doigts, s’abîme dans la contemplation de sa griffe de fer, cadeau de Regehir le forgeron. Bréhyr entend lui redonner vie et l’entraîne sur les routes à la recherche du dernier homme qu’elle doit tuer : Herôon. Parti en Terre sainte, celui-ci reviendra par le Tor, une tour mythique où le monde des vivants s’ouvre à celui des morts. 



Mon avis

Dans mes souvenires, le premier tome était centré sur Chien et la quête de son père (dont j'ai du mal à suivre si celle ci était résolue ou non).

Le second tome commence par introduire un nouveau personnage en la personne de Brehyr, qui va prendre en charge Chien après des blessures sévères et finalement on suit plutot sa quete à elle.
Chien part à la recherche de sa mère et de son vrai nom, mais finalement ce passage est rapide et assez décevant. On ne s'attendait pas à une mère parfaite mais celle de chien comme la plupart des personnages est une personne désabusée de la vie, à sa logique propre, et on ne peut que comprendre le caractère de Chien au vu de ses parents.

Cette recherche se termine assez vite dans le roman et il manque par la suite un fil conducteur, on est ballotté comme Chien dans ce monde, ballottés par les rencontres qu'elle fait, et par la quête de Brehyr. Il s'agit finalement d'une quête sur soi, emplie de conseils et de rencontres, mais je n'ai pas accroché à ses moments. Ce tome nous apporte quelques personnages aussi haut en couleur que Brehyr et Chien, mais finalement, je n'ai pas réussi à m'attacher à eux, à m’intéresser à leurs histoires.

Bref, je n'ai pas été happée vraiment par ce roman, par les différentes quetes personnelles des personnages et par le coté très philosophique de l'écriture, ou chacun donne sa lecon de vie, de manière plus ou moins naturelle. Peut être que le court format du roman, avec des phrases parfois trop travaillé m'a éloigné des personnages et des messages qui devaient passer.

Enfin, le premier tome se déroulait dans une certaine ambiance moyen ageuse, sans que ce soit bien déterminé, et ce flou permettait de s'immerger dans un monde parallèle, semblant différent du notre, tout en gardant certains repères. Malheureusement les nombreuses références aux croisades, et à la religion casse finalement le coté fantastique/fantasy du roman, et donne presque une ambiance historique au roman qui m'a sortie de mon imagination.

Alors il y a quand même des points positifs dans ce livre, notamment le personnage masculin de leur petit quatuor, le retour de la Salamandre, personnage mystérieux qui m'avait troublé lors de ma lecture du premier tome. Il me manquait peut etre aussi un peu de fraicheur dans ma lecture du premier tome pour bien saisir les rappels au passé.

La postface de Jaworski me convint qu'il est nécessaire que je sorte ses livres de ma bibliothèque, et apporte un certain éclairage sur la femme guerrière représentée par Brehyr, la petite et Chien !

Au total : Je n'ai pas trouvé la magie du premier tome, le charme qui m'avait permis de me souvenir de cette lecture.

Des lecteurs plus convaincus : PtiteTrolle, Blacky ...


En relisant mon petit mot sur le premier tome, je me rends compte qu'avec le temps j'ai oublié la présence de l'Eglise que j'avais déjà noté à cette époque.
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Lettre N : 220 pages

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dimanche 23 novembre 2014

"Leviathan" de Scott Westerfeld



Un livre Steampunk qui me faisait de l’œil depuis longtemps. Je ne regrette pas de l'avoir sorti de ma PAL

Résumé

Couverture Léviathan, tome 11914. A l'aube de la Première Guerre mondiale. D'un côté, les darwinistes (Anglais, Français), adeptes du tout biologique et rois de la manipulation génétique. De l'autre, la civilisation ultra-mécanique, les clankers (Allemands, Autrichiens.) La guerre éclate avec l'assassinat de l'Archiduc François-Ferdinand. Alek, son fils, menacé lui-aussi de mort, prend la fuite sur un robot de combat bipède bardé de mitrailleuses. Il réussit à rejoindre la Suisse et se cache dans un vieux château en ruines. Pendant ce temps, la jeune Ecossaise Deryn Sharp, orpheline, s'habille en garçon et se fait engager dans l'Air Service (forces aériennes britanniques.) Après un premier vol d'essai mouvementé aux commandes d'une méduse volante, elle rejoint l'équipage du Léviathan, sorte de baleine géante gonflée à l'hydrogène. A son bord, un chargement biologique, classé secret défense. Ils volent vers Constantinople, mais les Allemands les attaquent et le Léviathan s'écrase dans les Alpes. C'est là que Deryn, toujours déguisée en homme, fait la rencontre explosive d'Alek...

Mon avis

On se plonge dans l'avant première guerre mondiale, avec nos repères historiques préservés mais dans un univers différent du fait des machines de guerre utilisée. J'ai aimé ce coté fantastique apporté par les différents points de vue entre les Darwinistes, plutôt ambiance manipulations génétiques d'animaux pour obtenir des armes de guerre dans la continuité de la nature et les Clanker qui misent tout sur la mécanique. La place de la femme amenée par la scientifique est assez agréable à découvrir, et le mystère reste entier quant à l'identité de ces œufs.

Les personnages principaux, très jeunesses, sont attachants, marqués par leur différences de culture, d'éducation. J'ai aimé l'entourage d'Alek, leur dévouement et fidélité. La relation entre Deryn et Alek est mignonne, comme deux adolescents qui deviennent amis. L'intrigue est finalement assez simple, mais reste plaisante et l'imagination de l'auteur, notamment dans la construction du Léviathan m'a fasciné.

L'action alterne initialement entre les 2 personnages, à un rythme de 2 chapitres chacun qui apporte finalement une certaine tension dans l'action et nous interroge sur la manière de les réunir. Je n'ai pas trouvé de temps mort pendant ce tome.

Pour finir, l'objet livre en lui même est magnifique, que ce soit la couverture ou les illustrations qui ponctuent régulièrement certaines actions.

Au total : Un premier tome dans un univers Steampunk jeunesse plutôt plaisant malgré une intrigue assez simple.

Challenge Vapeur et feuilles de thé par Sia

http://encresetcalames.files.wordpress.com/2014/09/challenge-vapeur-et-feuilles-de-thc3a9-small.png?w=640&h=349
Challenge Steampunk par Sia  
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Lettre W
Photo

jeudi 13 novembre 2014

"Merci pour les souvenirs" de Cecelia Ahern

Lu dans le cadre du Book club de Lille aux livres. J'en profite pour l'inclure dans mon challenge ABC 2014.

Résumé



Suite à un accident, Joyce Conway est transfusée. Des phénomènes étranges se produisent alors : elle a des souvenirs d'évenements qu'elle n'a pas vécus ou des connaissances qu'elle n'a jamais apprises. Elle cherche alors à retrouver la personne qui lui a donné son sang, dans l'espoir de comprendre ce qui lui arrive.






Mon avis

J'avoue ne pas avoir été aussi enthousiaste lors de ma lecture que celle qui nous a présenté le livre.

Étonnamment, j'ai assez vite adhéré au concept de transfert de souvenirs, qui pourtant défie toute logique scientifique et qui donne finalement un coté assez bizarre à la relation amoureuse supposée.
J'ai trouvé que le livre trainait en longueur. Passé la moitié du livre, il ne s'était pas passé grand chose, et parfois j'ai eu l'impression que le personnage principal était plutôt le père de Joyce, que Joyce elle même ou Justin.

Le dénouement amené sur tant de pages, est finalement assez court, et je reste assez perplexe sur les évènements ayant rapproché les deux protagonistes. D'un coté, Joyce fonce tête baissée dans cette aventure dont elle ne comprend pas tout de suite la cause, dans un essai d'oubli de sa vie antérieure mais d'un autre coté, elle reste en arrière sans que je puisse vraiment m'identifier à elle ou tout du moins comprendre son comportement. (Rester cachée dans une benne à ordure ... peut être un peu trop comédie américaine à mon gout).
Justin n'est pas très présent. Il a une jolie relation avec sa fille mais pas très adaptée dans certains moment.
Il m'a manqué finalement la petite étincelle qui fait le charme des romans "de fille", ou sentimentaux, qui souvent se trouve dans les rencontres ou les dialogues entre les personnages.

Personnellement je n'ai pas plus que ça accroché au personnage du père, même si je comprends que certains soient émus par son étourderie associée à son bon sens. Il est un peu trop présent à mon gout. Les scènes humoristiques (comme à l'aéroport) sont justes mais ne m'ont pas vraiment fait sourire.
Je passe les personnages secondaires qui m'ont semblé assez transparents malgré l'essai de contenu essayé.

Le décor est bien amené, on se balade dans Londres et Dublin comme si on y était, et cela fait partie du charme du livre. Les détails architecturaux, historiques sont saupoudrés sans jamais tomber vers l'encyclopédie, mais j'avoue que la peinture sur cuivre continue de me laisser indifférente.

Au total : Un livre qui se lit bien mais qui ne m'a pas franchement intéressé. Je ne suis pas sure de tenter d'autres livres de cet auteur.

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Lettre A : 470 pages 14/26

mardi 11 novembre 2014

BD : "Mauvais genre" de Chloe Cruchaudet

Je profite des rendez vous éphémères de Sophie sur le thème de la premiere guerre mondiale  pour parler cette bande dessinée dont je n'avais pas eu le temps de mettre en billet.

Résumé : 
Couverture Mauvais GenrePaul et Louise s’aiment, Paul et Louise se marient, mais la Première Guerre mondiale éclate et les sépare. Paul, qui veut à tout prix échapper à l’enfer des tranchées, devient déserteur et retrouve Louise à Paris. Il est sain et sauf, mais condamné à rester caché dans une chambre d’hôtel. Pour mettre fin à sa clandestinité, Paul imagine alors une solution : changer d’identité. Désormais il se fera appeler… Suzanne. Entre confusion des genres et traumatismes de guerre, le couple va alors connaître un destin hors norme.




Mon avis

Mauvais genre fait partie de ces romans graphiques qui prennent aux tripes, plongés dans la vie des protagonistes. La tension est omniprésente, pas d'humour, des sujets graves traités avec beaucoup de délicatesse, mais aussi de réalisme que ce soit la désertion, le stress post traumatique ou le changement de genre. Le thème amène à réfléchir, fait bouger nos préjugés et certaines idées reçues.

La situation de Paul et Louise nous émeut.
On est fasciné par Paul qui se transforme en Suzanne, qui se découvre une nouvelle manière d'être et de vivre, qui correspond peut être mieux à ses envies. Mais entre Suzanne et Paul, il est difficile de savoir qui prend le dessus, si le personnage crée pour la survie ne prend pas le pas sur le mari aimant du début, s'il n'est pas plus facile de rester derrière son masque, plutôt que de revenir à soi même.
La quête d'identité est présente : qui suis je, que vais je devenir, comment s'adapter en restant soit même ? Au final, on se perd comme le personnage dans l'identité qu'il présente qu'il souhaite être et devenir. Perdu dans ses aspirations d'avant guerre, puis de déserteur ayant trouvé un équilibre, son avenir tiraillé entre deux personnalités si différentes ne pouvait finalement qu'être tragique. Dès les premières pages débutant par un procès, cet avenir nous est évoqué.


On est éblouit par Louise, qui reste auprès de son mari, jusqu'à son acte de courage ultime.

Les dessins gris avec une pointe de rouge servent magnifiquement l'histoire. Le passage dans les tranchées est criant de réalisme. 

Les héros de la guerre sont à la fois les soldats, mais aussi toutes ces femmes qui ont du la vivre dans leur quotidien, seules avec le rationnement alimentaire imposé, les difficulté financières. La fin de la guerre n'est qu'une ouverture vers une vie meilleure. Il est difficile pour les anciens soldats de reprendre le quotidien.

Au total : Un roman graphique qui sous le thème de la désertion durant la première guerre mondiale aborde des sujets bien plus complexes comme le changement de genre, et la dépersonnalisation.

D'autres avis : ici, la, ou encore par ici

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dimanche 9 novembre 2014

"Le roi disait que j'étais diable" de Clara Dupont- Monod

Livre reçu dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire, organisés par Price Minister.
Un livre qui m'intriguait du fait du personnage principal : Alienor d'Aquitaine, prénom de ma nièce, et figure féminine historique.

Résumé

Couverture Le roi disait que j'étais diableDepuis le XIIe siècle, Aliénor d'Aquitaine a sa légende. On l'a décrite libre, sorcière, conquérante : "le roi disait que j'étais diable", selon la formule de l'évêque de Tournai...
Clara Dupont-Monod reprend cette figure mythique et invente ses premières années comme reine de France, au côté de Louis VII.
Leurs voix alternent pour dessiner le portrait poignant d'une Aliénor ambitieuse, fragile, et le roman d'un amour impossible.
Des noces royales à la deuxième Croisade, du chant des troubadours au fracas des armes, émerge un Moyen Âge lumineux, qui prépare sa mue.




Mon avis

Je me suis assez vite rendue compte que je connaissais finalement assez peu cette partie de l'histoire de France, et j'ai regretté découvrir assez tard dans ma lecture les petites notes de rappel qui existait au fond du livre pour remettre l'action dans le contexte historique assez riche de l'époque.

Alienor d'Aquitaine est une reine connue surtout par les rumeurs qu'elle a engendré, mais aussi par ses mariages, et les tensions qu'ils ont engendré entre la France et l'Angleterre.
Elle apparait dans ce livre comme une jeune fille gâtée, très (trop) déterminée, passionnée et assez peu reine de son peuple, surtout gouvernante d'elle même. Son roi, Louis, nous montre à quel point une éducation de prince joue énormément sur le caractère des futurs rois à cette époque.
Alienor est un personnage fort qui s'autosuffit, une de ses femmes dont l'époque n'a pas forcément permis son épanouissement total. Que serait devenue l'Aquitaine, la France et l'Angleterre si une femme avait pu gouverner ?

La religion fait partie intégrante de ce roman, et il est intéressant de voir l'antagonisme entre Alienor, très peu portée sur ce sujet, dont le père était dit hérétique et Louis, éduqué pour s'y consacrer, et qu'un coup du sort met sur le devant de la royauté.
Louis n'est pas mis en valeur dans ce texte, personnage transi d'amour, semblant toujours indécis, sauf quand il est en transe. Monarque pieu mariée à un diable, dans le sens de la tentation, de la passion, du dynamisme.

L'alternance des points de vue m'a parfois troublé et j'oubliais qui était le protagoniste alors que les séquences sont bien marquées sur le plan typographique, les caractère bien tranchés, mais j'ai parfois trouvé que les 2 souverains s'exprimaient de manière assez similaire.

La dernière partie avec un œil extérieur m'a plu et apporte un nouvel éclairage sur ce couple assez atypique pour l'époque et donne le dénouement de la croisade, bizarrement peu enseignée dans nos cours d'histoire.

Au final : Je ne sais que penser de ce livre que j'ai trouvé parfois difficile d'accès, mais qui m'a permis de m’intéresser à une période que je connaissais peu.

Lu pour les matchs de la rentrée littéraire de Price Minister
L'avis de Lili Galipette qui l'a préselectionné.

lundi 3 novembre 2014

"La fractale des raviolis" de Pierre Raufast

Livre que j'avais repéré dans la rentrée litteraire, mon dernier passage dans une librairie d'occasion m'a permis de me le procurer.

Résumé

Couverture La fractale des raviolis

Il était une fois une épouse bien décidée à empoisonner son mari volage avec des raviolis. Mais, alors que s’approche l’instant fatal, un souvenir interrompt le cours de l’action. Une nouvelle intrigue commence aussitôt et il en sera ainsi tout au long de ces récits gigognes. 







Mon avis

Ce livre, à travers de nouvelles reliées entre elle un peu comme dans la chanson de mon enfance (tintimarre - marabout - bout de ficelle ...) nous amène dans une histoire complexe, pleine de surprises.

L'empoisonnement aux raviolis prend finalement une place faible dans ce roman, et l'approche de la femme, les souvenirs que son acte fait remonter apporte un tourbillon ascendant puis descendant, comme une histoire miroir. Les premiers chapitres trouvent échos dans les derniers.

Les chapitres sont courts, apportant un rythme assez soutenu, dont le lien initial incertain, parait plus évident au vue du dénouement. J'ai lu les 2 premiers tiers d'une traite (environ 1h de train) puis de manière plus hachée, et je pense qu'il est plus immersif de lire le roman  en une seule fois ou en tout cas avec peu de coupure, car certains détails semblent m'avoir échappé une fois sortie de l'histoire.
J'ai parfois regretté l'absence de lien franc final reliant toutes les anecdotes, un peu comme un recueil de nouvelles hétérogène. L'auteur cependant nous signale bien que son point de départ est plus l'histoire, comme un conte raconté chaque soir que l'Histoire emportant tout le roman.
La chute de l'histoire est assez déroutante, du fait de l'évènement qui perturbe le cours prévu, mais aussi de sa conclusion sur la destinée.

Au total :
Un roman court qui se lit bien et nous amène dans l'imagination parfois farfelue de l'auteur.

dimanche 2 novembre 2014

Challenge Retour vers le futur : voyagez dans le temps, nom de Zeus ! organisé par Lune



Il y a quelques mois, mon homme m'a fait découvrir la trilogie de Retour vers le futur que je n'avais jamais vu !
Après ce premier visionnage, j'ai été conquise par l'humour de Doc, et les situations cocasses apportées par les maladresses de Marty.

Quand Lune propose un challenge sur ce thème, je ne peux que m'inscrire !


Il s'est déroulé se déroulera du 21 octobre 2014 au 21 octobre 2015 (jour de l'arrivée de Marty dans le futur)
Il consiste à chroniquer sur le thème du VOYAGE DANS LE TEMPS :
  • des romans
  • des recueils et anthologies
  • des nouvelles à la pièce
  • des BD
  • des documentaires 
  • des essais

BREF des livres, AINSI QUE :
  • des films (dont les films éponymes, il y a toujours des détails à découvrir !! Et peut-être que certains ne les ont jamais vus - QUOIIIIIII !!!!!!???)
  • des documentaires
  • des séries (ou épisodes de série à la pièce)
  • des jeux...

VO et VF, adulte et jeunesse, tout est OK !
Il faut évidemment un blog pour participer. La première chronique valide officiellement votre participation. Il faudra y insérer le logo ci-dessous et un lien vers cet article.
 
Je me suis inscrite au niveau Biff Tannen : 6 participations !
 
Ma PAL pour l'occasion :
Denier, Anne : Côté Face, tome 2 : Noces de lune  
Bousquet, Charlotte : La peau des rêves, tome 2 : Nuit brûlée
Niffenegger, Audrey : Le Temps n'est rien / De toute éternité  
Hypérion de Dan Simmons
Black-out  de Connie Willis (sur liseuse)

La nuit des temps de Rene Barjavel ?