Résumé : (autant dire que ce n'est pas le plus inspirant)
L'Ecume des jours : ce titre léger et lumineux
annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée
par un écrivain de vingt-six ans.
C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette ?uvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir.
Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains...
C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette ?uvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir.
Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains...
C'est un livre culte dans son abstraction du monde, dans son coté fantastique que ce soit dans les inventions proposées par l'auteur, son univers qui s'adapte à la santé et l'humeur des personnages.
J'ai ressenti à la fois une sensation d'étrangeté et de bien être, dans cet univers qui m'a semblé familier malgré certaines expressions, évènements qu'il est difficile de s'imaginer.
Le personnage de Chick m'a fascinée dans son obsession de Jean Sol Partre, et je ne me souvenais plus du tout du dénouement, et il m'a surprise, probablement car il m'a rappelé d'autres livres lus récemment. J'ai trouvé ce personnage très évocateur de notre société de consommation, à demander toujours le produit dérivé de plus, même si le changement n'est qu'à une virgule.
J'avais un souvenir de la présence omniprésente du nénuphar, et même si son évocation est rapidement étouffante, je m'étonne d'avoir gardé cet éléments comme aussi intense. Finalement, j'ai eu l'impression que l'histoire de Colin et Chloé ne prenait pas tant de place que ça (en tout cas beaucoup moins que dans mes souvenirs, j'avais quasi oublié qu'il existait d'autres personnages dans ce livre), que les choses allait rapidement, et je me suis plus attardée sur les relations entre les différents personnages.
Au total : Un livre de mon adolescence relu d'un œil nouveau à l'âge adulte, mais qui me conforte dans mon idée de relire certains livres clés de ma période scolaire.
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