mercredi 31 juillet 2013

Bilan du mois de juillet, Perspectives d'aout

Un mois de juillet marquée par quelques jours de vacances, où je me suis accordée de vraies pauses lectures.

J'ai donc lu : 


Et l'Assassin royal tome 1, enfin plutot une relecture dont l'article devrait paraitre demain.

Rétrospectivement, je me rends compte que j'ai pas mal ramé sur Limonov qui reste un bon livre mais pas dans le style que j'apprécie (un peu trop d'auto-introspection de l'auteur). J'ai enfin relu des livres qui je me promettais de relire, et je repars avec une vraie satisfaction dans l'assassin royal !

J'ai pas mal lu aussi de manga (notamment poursuivi la série Nana) dont je ferais un article d'ici peu.


J'ai en cours : 

Les contrées du rêve de H.P. Lovecraft pour la LC du cercle, que j'aimerais finir dans le week end
La stratégie Ender d'Orson Scott Card, qui se lit avec une facilité que je n'aurais pas cru !


Perspectives d'aout : 

Couverture Le monde de Rocannon Editions  2003Le monde de Rocannon d'Ursula Le Guin
Un livre de GRR Martin pour le match chez Iluze du 1 au 15 aout
Harry Potter Tome 5 de J.K Rowlingcar je suis très en retard pour la LC (et peut être en anglais)
Northanger Abbey de Jane Austen pour une LC au 15/8

mardi 30 juillet 2013

"Captain Wentworth's Diary "d'Amanda Grange


J'avais découvert la littérature paraaustinienne avec Le Journal de Mr Darcy du même auteur, un peu génée par le coté trop fleur bleue du mâle d'Orgueil et Prejugés, mais j'avais globalement apprécié. Je me suis donc attaquée au héros de Persuasion, mais en anglais cette fois !

 Résumé


Couverture Captain Wentworth's Diary 

It is 1806, and the Napoleonic wars are ravaging Europe. Frederick Wentworth, a brilliant young man with a flourishing career in the navy, is spending his shore leave in Somerset, where he meets and falls in love with Anne Elliot. The two become engaged, but Anne's godmother persuades Anne to change her mind, leaving Wentworth to go back to sea a bitter and disappointed man.

Mon avis

Le gros point positif est d'une part de retrouver le capitaine Wenworth, sa droiture et sa galanterie, et notamment d'avoir un apercu de ce qu'il s'est passé lors de leur premiere rencontre avec Anne. J'ai trouvé cette première partie bien amenée, même si le début est assez lent. On retrouve bien les personnages qui gravitent autour du couple, et je m'y suis moins perdue qu'à ma lecture de Persuasion.

J'ai eu très envie de relire Persuasion, car je me suis attachée au personnage d'Anne, à sa manière de gérer les évènements.

Dans les bémols, j'ai encore eu un peu de mal à lire de manière si ouverte les "sentiments" notés à l'écrit du Capitaine. Le format journal intime donne vraiment cette impression de faux...
Et de manière assez étrange, j'ai été assez géné par le style faussement ancien de ce livre, que je n'avais pas ressenti lors de ma lecture du journal de Mr Darcy que j'avais lu en francais.

Au total : Une lecture para-austinienne qui m'a fait passé un bon moment sans être révolutionnaire pour autant ! Je ne pense pas poursuivre dans la série des journaux de...

mercredi 24 juillet 2013

"Du domaine des murmures" de Carole Martinez

Voila bien 18 mois que ce livre est dans ma bibliothèque, acheté lors d'une rentrée littéraire au vue des excellentes critiques que j'avais lu et entendu, mais il m'impressionnait par son thème et par les éloges reçues.

Résumé

Couverture Du domaine des murmures Editions Folio  2011 En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Esclarmonde refuse de dire "oui" : elle veut faire respecter son voeu de s'offrir à Dieu, contre la décision de son père, le châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe... Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle soufflera sa volonté sur le fief de son père et ce souffle l'entraînera jusqu'en Terre sainte.





Mon avis

J'ai été totalement absorbée par l'histoire d'Esclarmonde, dont j'avais oublié le propos exact de son enfermement. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit emmurée vivante dans une chapelle avec un contact pour le monde extérieur.

J'ai aimé cette plongée dans le moyen âge, avec les traditions, croyances à la fois chrétienne et païenne. Le récit est finalement très orienté sur la condition féminine, leur absence de choix, de liberté et de respect que les hommes éprouvaient à leur égard. Les personnages secondaires comme Douce, Bérangère, Ivette ou la nourrice, complètent cette description et apportent la réalité quotidienne, dans l'enfermement du personnage principal. La vie continue autour de cette chapelle. La relation avec Lothaire est touchante, de par les changements induits par son refus du mariage, il apport l'espoir.

L'évolution d'Esclarmonde au fur et à mesure de son enfermement, sa manière d'aborder sa foi, sa relation avec les pèlerins nous est contée comme une légende, comme si nous étions sur le domaine des murmures. On ouvre une parenthèse de vie en ouvrant ce livre, qui nous transporte dans le temps, et dans les lieux. La frontière entre réel et fantastique est tenue et par elle réapparaissent les croyances, et les légendes qui peuplaient nos campagnes.

Ce livre est court, lu en 3 heures à peine, mais intense, car je n'ai pu le poser ce qui ne m'étais pas arrivé depuis un bon moment.

Au total :  Un roman qui nous plonge dans le moyen age à travers une femme de caractère.

Lettre M : 11/26

dimanche 21 juillet 2013

"Nos étoiles contraires" de John Green

Une vague d'avis positifs suite à une vague de service presse, un thème qui me fait toujours un peu peur car proche de mon quotidien, j'ai profité que Marion me le prête lors d'un TTBS et de l'arrivée du Book Club pour me lancer dans sa lecture.

Résumé


Couverture Nos étoiles contrairesHazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie
 
 
 
 

Mon avis

Je suis loin de l'enthousiasme général pour ce livre, mais j'ai apprécié ma lecture, qui fut rapide. C'est assez bizarre cette sensation d'avoir l'impression de devoir aimer ce livre, au vue du sujet qu'il aborde.

Le thème du cancer chez les enfants est bien traité, notamment à travers l'impact sur la famille des annonces, des récidives et des différents traitements, le quotidien rythmé par les traitements, les rechutes, les différents examens de suivi. Les termes sont justes et adaptés (parfois certains détails médicaux peuvent me bloquer lors d'une lecture du fait de leur aberration...). L'isolement des malades est bien décrit, leur difficultés à intégrer une vie normale, et à se projeter dans l'avenir du fait de l'épée de Damocles suspendue sur leur tête.

Malheureusement je n'ai pas été sensible à la romance entre les deux protagonistes, qui reste assez classique dans son approche, et son dénouement. Je suis d'accord qu'on en peut qu'admirer le courage dont font preuves ces adolescents devant leur avenir et leur quotidien, mais je n'ai pas accroché plus que ça à leur caractère. Il y a, par ailleurs parfois, une vraie ambivalence entre certains propos tenus par les personnages et leur comportement, comme si l'auteur dénonçait certains fait mais ne pouvait s'empecher de les faire vivre à ses protagonistes.

J'ai aimé le fait qu'un livre (qui n'existe malheureusement pas) soit un des fils conducteurs de l'histoire. Son histoire nous transporterait presque à travers le ressenti d'Hazel.

La fin m'a surprise dans son réalisme
et nous rappelle que rien n'est acquis, et qu'il en faut peu pour changer le cours des choses. Mais finalement, le livre est assez court (300 pages en GF, gros caractères), ce qui apporte de l'intensité car il y a beaucoup d'évènements en peu de pages, mais il m'a manqué un peu de profondeur, un peu plus de temps pour apprécier certains passages et personnages ? ).

Au total : Le ton est juste pour parler d'un sujet sensible et facilement larmoyant, mais je n'ai pas accroché aux caractères des personnages.

mercredi 10 juillet 2013

"Limonov" d'Emmanuel Carrere

Conseillé par une amie au moment de sa sortie, j'ai profité d'un partenariat organisé par le site Livraddict pour le lire.

Résumé


Limonov par CarrèreLimonov n’est pas un personnage de fiction. Il existe. Je le connais. Il a été voyou en Ukraine ; idole de l’underground soviétique sous Brejnev ; clochard, puis valet de chambre d’un milliardaire à Manhattan ; écrivain branché à Paris ; soldat perdu dans les guerres des Balkans ; et maintenant, dans l’immense bordel de l’après-communisme en Russie, vieux chef charismatique d’un parti de jeunes desperados. Lui-même se voit comme un héros, on peut le considérer comme un salaud : je suspends pour ma part mon jugement. C’est une vie dangereuse, ambiguë : un vrai roman d’aventures. C’est aussi, je crois, une vie qui raconte quelque chose. Pas seulement sur lui, Limonov, pas seulement sur la Russie, mais sur notre histoire à tous depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.


Mon avis

Mon avis va se diviser en 2 parties : le fond et la forme

Sur le fond, j'ai été, probablement comme l'auteur, fascinée par la vie d'Edouard Limonov, que nous suivons de son enfance à la période actuelle.
J'ai aimé suivre ses péripéties tout en voyant la Russie évoluer, et d'ailleurs, je pense que j'ai pas mal appris notamment sur la chute de l'URSS et l'avènement de la Russie, période que je connais finalement assez peu.
Démarrant de loin, mais avec une certaine obstination, on voit son évolution artistique des poèmes initiaux, aux livres provocateurs, et de sa vie privée avec les différentes femmes et hommes qui ont marqué sa vie.
La période la plus longue dans le livre n'est pas forcément la plus longue dans le temps, mais probablement celle qui a le plus forgé son caractère.

Sur la forme, certaines tournures de phrases particulièrement familière m'ont un peu génée, mais surtout la partie "autobiographique" de l'auteur, concernant son vécu, son ressenti sur les évènements, tout en remettant Limonov dans son contexte, il nous évoque sa vie, sa famille, et parfois j'ai ressenti la même gêne que pendant ma lecture de 'Rien ne s'oppose à la nuit' avec un coté un peu voyeuriste d'autant plus que je m'attendais à un livre centré sur Limonov.

Je me suis posée initialement la question d'un personnage fictif ou réel, et j'avoue m'être renseignée avant de poursuivre ma lecture, pour pouvoir me plonger dans l'histoire.
J'ai aimé lire les doutes de l'auteur sur certaines parties, notamment quand il se demande si c'est raisonnable de faire toucher 2 fois le fond à son personnage.Limonov est un personnage complexe, restant fidèle à lui même et à la Russie et s'adaptant à son environnement initialement pour la survie puis pour ses idées et surtout être reconnu. Sa vie à New York reste la plus fascinante par sa manière de rebondir et son évolution digne d'un "rêve américain".

Au total : Un livre fascinant sur un personnage peu connue de l'histoire russe. Un grand merci aux éditions Folio et au site livraddict pour cette découverte !

Logo Livraddict

vendredi 5 juillet 2013

"La confusion des sentiments" de Stefan Zweig

Je pense avoir déjà écrit à quel point j'admire l'écriture de Stefan Zweig, sa capacité à décrire les pensées de ses personnages dans des nouvelles courtes mais intenses. Ce livre ne déroge pas à la règle.
Je voulais faire un avis assez neutre, mais je trouve ca triste de ne pas exprimer tout mon ressenti. Donc cet avis dévoile une bonne partie du roman ! (intrigue est un peu fort à mon gout pour un livre de S. Zweig)

Résumé




Couverture La Confusion des sentimentsAu soir de sa vie, un vieux professeur se souvient de l'aventure qui, plus que les honneurs et la réussite de sa carrière, a marqué sa vie. A dix-neuf ans, il a été fascine par la personnalité d'un de ses professeurs ; l'admiration et la recherche inconsciente d'un Père font alors naître en lui un sentiment mêlé d'idolâtrie, de soumission et d'un amour presque morbide. Freud a salué la finesse et la vérité avec laquelle l'auteur d'Amok et du Joueur d'Echecs restituait le trouble d'une passion et le malaise qu'elle engendre chez celui qui en est l'objet. Paru en 1927, ce récit bref et profond connut un succès fulgurant, en raison de la nouveauté audacieuse du sujet. Il demeure assurément l'un des chefs-d'œuvres du grand écrivain autrichien.





Mon avis

Roland, jeune étudiant tête à claques, découvre après une vie mouvementée d'étudiant berlinois, la passion de la lecture et de l'apprentissage.
Un lien étrange se tisse en lui et son professeur, adorateur de Shakespeare et qui magnétise la plupart de ses conférences.
On suit l'arrivée de Roland dans sa nouvelle université et surtout l'évolution de la relation entre lui et son professeur, à la fois studieuse mais avec des éléments qui nous mettent mal à l'aise, notamment la présence de sa femme.

J'ai été fascinée par la manière dont est mise en place cette relation qui de premier abord semble assez malsaine, avec un étudiant qui change radicalement pour plaire à son professeur.

Finalement, la séduction se révèle bilatérale quand on apprend les raisons de ses voyages. De mon coté, je n'avais rien vu venir (comme souvent d'ailleurs, je reste assez naïve), mais je me dis que finalement, dans l'ambiance actuelle, ce livre est un bon moyen de parler d'homosexualité, par un biais détourné, et je comprend qu'il puisse mettre mal à l'aise, mais aussi avoir fait beaucoup parler de lui à sa sortie. Mal à l'aise, plus dans le débordement de la relation professeur/étudiant, où on sent que Roland est totalement sous l'emprise de son mentor, comme une passion non contenue et non cachée. Finalement, on admire presque le professionnalisme de ce professeur qui ne dépassera pas les limites mais la ligne est si ténue. Peut être n'aurait-il pas du lui proposer de travailler avec lui, le faire autant entrer dans sa vie personnelle. Et la différence d'âge et de fonction me semble bien plus inconfortable.

La femme du professeur est elle aussi un personnage intéressant, dans sa relation avec les deux hommes, dans sa manière de séduire Roland, un peu par compétition, un peu par désespoir. Les explications de leur fonctionnement nous éclaire sur les comportements respectifs, mais aussi sur la difficulté de garder une facade.

Au total : Un livre de S. Zweig, qui m'a touché. A découvrir pour tous les amateurs de cet auteur!



Lettre Z

mercredi 3 juillet 2013

"L'ami retrouvé" de Fred Uhlman

Lu pendant mon collège, j'ai eu envie de cette relecture pour le challenge ABC

Résumé




Agé de seize ans, Hans Schwarz, fils unique d'un médecin juif, fréquente le lycée de Stuttgart. Il est encore seul et sans ami véritable lorsque l'arrivée dans sa classe d'un garçon d'une famille protestante d'illustre ascendance lui permet de réaliser son exigeant idéal de l'amitié (...)







Mon avis :

Je me souviens que cette histoire m'avait beaucoup plu lors de ma première lecture, même si je n'en avais pas gardé beaucoup de souvenir.

Cette relecture m'a permis de voir d'un œil différent, celui d'un enfant juif, toute cette période de l'histoire, bien mieux connue de ma part que lors de ma première lecture, notamment la relative ignorance initiale dans certaines grandes villes de ce qui se passait ou allait se passer réellement avec le changement de pouvoir. On sent le racisme ambiant qui se développe.

L'amitié entre Hans et Conrad est forte dès le début, et en terminant ce roman, je me suis souvenue de cette amitié qui traverse les temps, et de cette impression qu'en apprenant à connaitre l'autre, on le comprend mieux.
La construction de cette amitié, cette rencontre entre 2 âmes sœurs, et ce coté assez exclusif des amitiés adolescentes sont parfaitement traités.


En lisant l'introduction, j'ai découvert la vie de l'auteur qui est aussi riche que son roman.

Au total : Un titre sur l'amitié adolescente avec comme toile de fond l'avènement du nazisme. Intemporel.

Lettre U : 1er changement

mardi 2 juillet 2013

TTT : Les livres qui m'intimident

Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini.
Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français sur le blog de Iani.

Thème de la semaine :
 

Les 10 Livres les plus intimidants (taille, contenu, livre que tout le monde a aimé et dont vous avez peur d'être déçus...)
 
Faisons le tour de ma PAL, et voyons ceux qui me tentent depuis si longtemps, mais qui y sont toujours !

Par leur taille :

Les Pilliers de la Terre de Ken Follett : 
1000 pages, ca peut déconcerter. Réputé comme extrémement prenant, j'ai peur de le lire sur plusieurs mois au vue de sa taille et de ne pas en profiter à sa juste valeur

Under the Dome de Stephen King : Acheté dans un élan de découverte de cet auteur, en anglais. Bon sa taille et les différents retours font qu'il m'est difficile de m'y attaquer finalement...






Par leur réputation 

La saga Millénium de Stieg Larssen: Trop bien pour beaucoup, j'ai peur de ne pas accrocher vu que je lis finalement assez peu de thriller/policier.

Hunger Games Tome 3 de Suzanne Collins : Dernier tome de la série, décue par le tome 2, j'ai beaucoup d'appréhension à lire ce livre qui pourtant cloture la saga.







Par l'espoir que j'y met

Les raisins de la colère de Steibeck : J'ai adoré des souris et des hommes de cet auteur, il y a longtemps, et j'avoue avoir peur d'être décue par ce livre qui pourtant est parmi un de ses meilleurs...Accessoirement, la couverture met dans l'ambiance, histoire pas très joyeuse.

Stardust de Neil Gaiman : J'ai pas vraiment accroché à American Gods, ni à de Sombres présages de cet auteur, peu sensible à son humour, l'étrange vie de Nobody Owen m'a donné l'espoir de découvrir et d'apprécier cet auteur, et ce livre est finalement porteur de cet espoir pour ses écrits adultes



Par la déroute d'une première tentative

La Peste d'Albert Camus : Vendu par des amis comme un livre clé de leur choix de vie, je n'ai pas du tout accroché lors de ma première lecture. J'ai trouvé ce roman extrémement long, sans vrai objectif final. Depuis j'ai lu l'étranger du même auteur et je me dis qu'il faudrait que je retente ma change

Les annales de la Compagnie Noire de Glenn Cook qui m'avait tellement dérouté à ma première lecture (enfin des 100 premières pages !)